ACCÉLÉRATEUR – LA SUBVENTION

Subvention Émergence : une nouvelle étape dans l’accompagnement des marques émergentes par Francéclat.

Objectif :

Ce dispositif, expérimental pour l’année 2025, est réservé aux marques émergentes. Il a pour vocation d’augmenter la visibilité des marques dans leur phase de décollage, en soutenant financièrement leur participation à 1 évènement de leur choix en France.

Principe et montant :

  • Participer à 1 évènement – qu’il soit à destination de professionnels ou du grand public, à rayonnement national ou international – en France, de type salon ou similaire[1] en 2025 ;
  • Montant : 50% des coûts de location de la surface nue dans la limite de 15 m².

Bénéficiaires :

  • Marques émergentes (moins de 10 ans d’existence) ressortissantes de Francéclat (à jour de leurs obligations vis-à-vis de la taxe HBJOAT) et non concernées par une procédure collective.

Comment ça marche ?

Il suffit d’envoyer dès maintenant à n.theverin@franceclat.fr les éléments suivants :

  • Raison sociale de l’entreprise + son numéro SIRET + chiffre d’affaires 2024 ;
  • Nom, prénom, fonction et coordonnées de la personne qui effectue la démarche ;
  • Nom de l’événement et montant de la subvention sollicitée pour validation de l’éligibilité et provisionnement de la subvention.

Pour le paiement de la subvention, il faudra envoyer à n.theverin@franceclat.fr :

  • Une facture et une preuve de son paiement (la subvention vous sera reversée après que vous ayez vous-même payé la facture concernée)

NB : sur la facture d’acquittement il faut obligatoirement que le nombre de mètres carrés du stand soit identifiable ;

  • IBAN de l’entreprise.

Ce dispositif étant expérimental, Francéclat se réserve le droit d’en adapter les modalités. Vous serez naturellement informés des éventuelles évolutions.Cette subvention est attribuée dans la limite du budget alloué au dispositifpar le Conseil d’administration de Francéclat. En cas de doute et compte tenu de la nature expérimentale du dispositif, n’hésitez pas à nous interroger.

 

Interview : l’avis des expertes Sylvie Pourrat et Muriel Piaser